Quand les banques s’emparent des questions environnementales

Les événements de ces dernières années ont conduit à un véritable réveil de l’opinion publique en ce qui concerne les préoccupations environnementales. Les banques en sont conscientes et, plus que jamais, elles sont prêtes à agir. Le Crédit Agricole relève le défi.
Les banques doivent concilier efficacement le financement de l’activité économique et les questions environnementales. Il s’agit d’un plan d’action concret dont l’objectif est de réduire notre empreinte environnementale. Notre point de vue est simple : pour que les banques soient valorisées, elles doivent faire plus que simplement en parler.
De nombreuses solutions sont en cours d’élaboration, notamment la comptabilisation du capital naturel, la tarification du carbone, la finance verte, les obligations vertes et l’investissement environnemental, social et de gouvernance. L’ensemble des banques vont dans cette direction.
Une véritable responsabilité environnemental
Pour le Crédit Agricole, la responsabilité environnementale consiste à devenir une « Banque de l’environnement » dont l’impact sur le changement climatique sera sa priorité, mais elle tiendra également compte des questions économiques, sociales et environnementales.
La Banque étant à l’heure de la responsabilité environnementale, c’est également le rôle des clients grâce à leur épargne et pouvoir d’achat de faire pression sur les fournisseurs afin qu’ils utilisent des matériaux plus écologiques. Une initiative verte qui s’inscrit parfaitement dans notre démarche responsable.
Le Crédit Agricole, pour une finance durable
Le Crédit Agricole s’engage pour une finance durable. A ce titre, il a décidé de réduire le financement des activités susceptibles de générer des émissions de gaz à effet de serre (GES).
Le groupe Crédit Agricole gère de la même manière son exposition aux entreprises de charbon thermique. L’objectif est de ne pas développer de relation avec les entreprises ciblées dont l’activité charbon thermique représente plus de 25% de leurs revenus. Le Groupe entend également renforcer son soutien aux acteurs économiques de la transition énergétique, notamment ceux actifs sur le segment du solaire.